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samedi 28 novembre 2015

LE FILM DE JEAN-LUC GODARD : "ADIEU AU LANGAGE"

Le dernier film de Jean-Luc Godard "Adieu au langage" sorti en 2014 m'a semblé totalement incompréhensible.
Après l'avoir vu j'ai lu la synthèse qu'en a donné Godard sur Twitter. Il dit : "Le propos est simple. Une femme mariée et un homme libre se rencontrent. Ils s'aiment, se disputent, les coups pleuvent. Un chien erre entre ville et campagne. Les saisons passent. L'homme et la femme se retrouvent. Le chien se trouve entre eux. L'autre est dans l'un. L'un est dans l'autre. Et ce sont les trois personnes. L'ancien mari fait tout exploser. Un deuxième film commence. Le même que le premier. Et pourtant pas. De l'espèce humaine on passe à la métaphore. Ça finira par des aboiements. Et des cris de bébé."

Source de l'illustration

samedi 21 novembre 2015

NOTE DE LECTURE N°10 : QUELQUES CONSIDÉRATIONS DE SCHOPENHAUER SUR LA PEINTURE



Le texte commenté ici est tiré de l'ouvrage majeur de Schopenhauer (1788-1860) :"Le monde comme volonté et comme représentation", 6° édition (1912), traduction de A. Burdeau, § 48.
(Source gallica.bnf.fr Bibliothèque nationale de France)

Surce de l'illustration ici

NOTE DE LECTURE N° 9 : "LES JOURS DE NOTRE MORT" DE DAVID ROUSSET, ed. FAYARD

David Rousset, né le 18 janvier 1912 à Roanne et mort le 13 décembre 1997 à Paris, est un écrivain et homme politique français. Résistant, déporté, il a publié deux ouvrages de référence sur les camps de concentration : "L'Univers concentrationnaire", pour lequel il a obtenu le prix Renaudot en 1946, et "Les Jours de notre mort". Entre 1931 et 1936, il voyage en Allemagne et en Tchécoslovaquie. Il rejoint, dès 1931, les Étudiants socialistes. Enseignant, il se rapproche de Léon Trotski, qu'il rencontre lors du séjour de celui-ci en France, et il est de ce fait exclu de la SFIO en 1935. L’année suivante, il est l'un des fondateurs du Parti ouvrier internationaliste (POI). Il se consacre, alors à l’action contre le colonialisme, en Algérie et au Maroc.





Durant l’Occupation, il participe à la reconstitution du POI clandestin. Il est arrêté par un inspecteur français et deux allemands le 16 octobre 1943 pour avoir entrepris un travail politique en direction des soldats de la Wehrmacht. Il est torturé rue des Saussaies pendant une journée, emprisonné à Fresnes, puis déporté à Buchenwald, et envoyé aux camps de Porta Westfalica et de Neuengamme. Devant l'avancée des Alliés, il est déplacé avec les autres survivants plus au Nord. Cette dernière marche de la mort se termina pour lui dans le kommando de Wöbbelin près de Schwerin avec les déportés déplacés du camp de Neuengamme. En 1947, il publie un roman de huit cents pages, "Les Jours de notre mort", basé sur ses souvenirs mais aussi sur d'autres témoignages sur les camps de la mort nazis.

Pour parler de ce livre, qui à mon avis est un chef-d'oeuvre, je laisse la plume à Maurice Nadau qui a su en parler beaucoup mieux que je ne saurais le faire.

jeudi 19 novembre 2015

L'ÉNERGIE N'EXISTE PAS !

L'énergie n'existe pas ! Cette affirmation demande quelques explications car si je n'avais pas cédé au jeu du titre provocateur, j'aurais dû écrire : "l'énergie n'existe pas en tant que chose".

Source de l'illustration : http://www.bgm-energie.fr/

mardi 17 novembre 2015

LE BONHEUR. CHAPITRE 6. EST-CE LA MAIN DE DIEU, EST-CE LA MAIN DU DIABLE ?

Dans la même veine que Rousseau on peut également lire le poème de Barbara : "Chapeau bas", avec toutefois deux aspects importants dont nous allons parler.



vendredi 13 novembre 2015

UN POÈME DE DAYLAN THOMAS

Daylan Thomas est un poète gallois né en 1914 et mort en 1953. Son poème le plus célèbre (1933), présenté ici, s'intitule en Anglais "And death shall have no dominion" ("Et la mort n'aura pas d'empire".


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mardi 10 novembre 2015

LE BONHEUR. CHAPITRE 5. DES MOMENTS DE BONHEUR DE JEAN-JACQUES ROUSSEAU

Il est des bonheurs égoïstes plus sereins que celui du "divin marquis". Je prendrai comme exemple celui de Jean-Jacques Rousseau dans "Les rêveries du promeneur solitaire" (cinquième promenade).
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dimanche 1 novembre 2015

UN POÈME DE JOSÉ MORENO VILLA "CONGOJA"

Josè Moreno Villa (1887-1955) est un poète espagnol à multiples facettes : archiviste, bibliothécaire, poète, écrivain, journaliste, critique d'art, critique littéraire, historien de l'art, documentaliste, dessinateur et peintre. Exilé au Mexique dès le début de la guetrre civile, on considère qu'il constitue une transition entre les auteurs espagnols dits de la "génération de 98" (Antonio Machado, Valle-Inclan, Unamuno etc.) et ceux de la "génération de 27" (Federico Garcia Lorca, Jorge Guillen, Rafael Alberti, etc.).
Soure de l'illustration ici